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À la découverte de la naturopathie animale avec Céline Jacquet !

Tristan Ferré : Bonjour Céline !

Céline Jacquet : Bonjour !

Tristan Ferré : Céline Jacquet, depuis toujours, les animaux rythment votre vie ou peut-être est-ce vous qui rythmez la leur. Comme beaucoup d’entre nous, à dix ans, vous rêviez de devenir vétérinaire et comme beaucoup d’entre nous, pour de nombreuses raisons, vous ne prendrez pas ce chemin, quoi que… c’est ce qu’on verra après. Vous trouvez votre voie dans la chimie, mais votre truc à vous, c’est plutôt l’alchimie, les potions, les plantes, les grimoires. Plus tard, de graves problèmes de santé vous détourneront petit à petit de la médecine traditionnelle. Trop de pilules, trop de cachets, trop de comprimés. Alors quand vous découvrez la naturopathie animalière, vous trouvez là, la réponse à ce que vous recherchiez : être avec et au service des animaux et apporter des soins non médicamenteux. Céline, est-ce que vous êtes d’accord avec cette description, est-ce que vous vous reconnaissez dans ce portrait ?

Céline Jacquet : Oui, je me reconnais tout à fait dans ce portrait, je n’aurais vraiment pas mieux dit moi-même.

Tristan Ferré : C’est parfait. Est-ce que vous pouvez nous dire un petit peu comment vous expliqueriez votre métier au quotidien de naturopathe animalière ?

Céline Jacquet : Alors mon activité est assez variée. J’ai choisi de proposer différents types de rendez-vous, différents types de consultation. Je vais commencer par le bilan naturopathique qui est un échange et des observations avec le gardien, je parle vraiment de « gardien » et non pas de « maître » ou de « propriétaire » d’un animal. J’estime qu’on n’est jamais propriétaire d’un être vivant. Donc, ça va être vraiment un questionnement global autour de l’animal que ce soit d’ailleurs en face à face ou à distance. Dans le premier cas, ça va être de la prévention, je vais conseiller ce qu’il faut mettre en place dans son hygiène de vie, pour qu’il soit en meilleure santé le plus longtemps possible. Ou alors, s’il y a une problématique de santé, on va identifier ensemble les causes puisque c’est l’essence même de la naturopathie : l’identification des causes racines de la problématique et on va discuter des troubles que ce soit physique ou émotionnel et je propose des solutions naturelles parmi ma boite à outils. Je propose également des massages énergétiques. C’est une combinaison de techniques manuelles alliées à des soins énergétiques. Je propose également des séances de zoopharmacognosie, c’est un formidable outil. La zoopharmacognosie c’est basé sur le fait que l’animal sait d’instinct ce dont il a besoin. Donc en cas de pathologies lourdes ou en cas de non-diagnostic, ça peut être vraiment d’une grande aide. Et puis, ça, ça me tient à cœur, je fabrique aussi des produits naturels et bios. Je trouve que pour les animaux, on n’a pas trop de choix en termes de qualité, on ne trouve pas vraiment des produits de qualité pour nos animaux en termes de soins. Mes produits sont également éco-conçus, parce que je trouve qu’il faut prendre soin de l’environnement et leurs environnements parce que nos animaux sont vraiment au plus proche de la nature.

Tristan Ferré : Est-ce qu’on peut faire un rapprochement avec une sorcière ou pas du tout ?

Céline Jacquet : Je n’aime pas trop. Je n’aime pas trop car j’estime qu’il y a des choses qu’on ne comprend à l’heure actuelle. La science n’a pas encore tout découvert. J’en profite pour parler par exemple de la géobiologie qui fait partie de ma boite à outils, on va parler de sourciers, ça ressemble à « sorcier » d’ailleurs. J’ai vraiment envie que les gens se renseignent sur la géobiologie et voient que ce n’est vraiment pas quelque chose qui appartient au monde des sorciers, c’est réel.

Tristan Ferré : Donc ça nous dépasse, mais c’est bien réel, si c’est bien ce que je comprends par rapport à l’avancement de la science qu’on a à ce jour.

Céline Jacquet : Oui tout à fait. Il y a des choses qu’on ne comprend pas, mais qui pourtant existent et sont réelles et efficaces.

Tristan Ferré : Ce n’est pas de la médecine vétérinaire. Comment vous vous positionnez vis-à-vis de la médecine vétérinaire « traditionnelle » ? Quelles relations vous entretenez avec ce corps de métier ?

Céline Jacquet : C’est une véritable complémentarité, même si on a une approche différente. La médecine allopathique traditionnelle va s’intéresser surtout aux symptômes et à mettre un nom sur une maladie. La naturopathie va prendre l’individu dans sa globalité. On va bien sûr regarder les symptômes, mais l’analyse va se faire sur l’individu. C’est une démarche qu’on appelle holistique. D’ailleurs, on dit qu’il n’y a pas de maladie, mais il n’y a que des malades. Pour illustrer cette complémentarité, par exemple les vétérinaires ont les moyens techniques et les connaissances nécessaires pour poser des diagnostics et gérer les urgences entre autres. Nous, les naturopathes, on donne plutôt des conseils en prévention, en hygiène de vie et on propose des techniques de médecine douce et des remèdes naturels. Dans ce cadre-là, on va avoir une vraie collaboration avec le vétérinaire pour, par exemple, dans le cadre de traitements très lourds, qui sont parfois pris à vie, je pense par exemple à l’épilepsie. Il y a de formidables remèdes naturels qui permettent de diminuer ce traitement, pour pouvoir augmenter l’espérance de vie de l’animal ou alors en cas de non-diagnostic, ça arrive aussi, là, la naturopathie fait des petits miracles.

Tristan Ferré : Est-ce que vous pouvez nous dire quels sont les animaux avec lesquels vous êtes le plus à l’aise ?

Céline Jacquet : Je suis autant à l’aise avec les chats et les chiens qu’avec les chevaux par exemple. Les chevaux sont un peu particuliers, les chiens et les chats ce sont des carnivores, les chevaux ce sont des herbivores et ils ne sont pas là avec nous à la maison, dans le salon, c’est un peu particulier. Pourtant, je suis autant à l’aise avec eux puisque que ça fait de nombreuses années je suis dans le monde du cheval, j’ai la chance d’être propriétaire et cavalière et je connais toutes les particularités du monde équestre et toutes les contraintes qui peut y avoir par rapport à leur mode de vie, aux activités sportives que l’on peut exercer avec eux. Je peux être à l’aise aussi bien avec des chevaux de loisirs, qu’avec des chevaux de compétition également.

Tristan Ferré : Pourtant, j’ai vu que vous proposiez aussi par exemple des soins pour les poules. C’est quand même beaucoup plus atypique !

Céline Jacquet : Oui c’est assez atypique, mais ça vient d’un constat : de plus en plus de personnes possèdent des poules maintenant et c’est super, mais beaucoup de personnes ne savent pas trop non plus comment s’en occuper, et dès qu’il y a un petit souci de santé, ils sont un petit peu perdus, et parfois, les vétérinaires de ville sont vraiment habitués aux chiens et sont formés aux chiens et aux chats et n’ont pas trop l’habitude des poules, donc ils sont un peu désemparés également. Je ne propose pas de bilan naturopathique pour les poules, par contre je prévois de faire des ateliers-conférence pour donner des pistes sur comment prendre soin d’elles, et ce sera plutôt au printemps.

Tristan Ferré : D’accord, donc un projet à venir. Est-ce que vous auriez une anecdote, je pense qu’on est dans un métier où vous rencontrez beaucoup de belles histoires, aussi des histoires qui sont peut-être moins belles. Mais parmi les belles, est-ce que vous avez une anecdote à nous partager ?

Céline Jacquet : Alors oui, j’en ai une petite. C’était dans le cadre de massages énergétiques pour deux chiens, deux femelles. J’ai commencé le massage pour la plus âgée qui avait d’ailleurs des douleurs au niveau du bassin, donc j’ai pas mal apposé mes mains pour lui faire du bien puisque je ne pouvais pas trop la manipuler, la masser et pendant tout le massage, la deuxième, c’était un Beagle, elle était tout le temps autour de moi et à chercher l’attention, etc. Je pense qu’elle savait vraiment que ça allait être son tour et elle était vraiment très impatiente. À la fin du massage avec la première chienne, l’instant où je me suis dit « ça y est, le soin est terminé », avant que j’enlève mes mains, la petite Beagle est arrivée, s’est mise entre la chienne et moi, était vraiment d’un calme incroyable. Si elle avait pu parlé, je pense qu’elle m’aurait dit : « ça y est, je suis prête, j’ai compris ! ».

Tristan Ferré : C’est génial, merci beaucoup, merci Céline.

Tristan Ferré : On va passer à la deuxième partie de l’émission. C’est une petite pause respiration. Je vous ai laissé une carte blanche, quelle est-elle ?

Céline Jacquet : Pour compléter ma formation initiale, je lis énormément de choses sur les principes et les connaissances des druides et des chamans. Je puise beaucoup dans les écrits qu’il y a là-dessus, et ça me sert à développer mon intuition et mon rapport avec la nature. Je pense que c’est vraiment essentiel lorsqu’on travaille les animaux, d’être vraiment lié et connecté à la nature et j’aimerais vous lire un extrait du Chaman Qui Est En Vous. C’est un extrait du chapitre « Se relier aux esprits de la nature » et c’est vraiment une incitation à cette connexion avec la nature.

Céline Jacquet : « Dans la vision, chaque être est doté d’un esprit : le plus petit insecte, la plus petite Pierre, la plante la plus insignifiante sont dotés d’une conscience, ressentent la douleur et la plénitude. Cette conscience n’est pas aussi complexe que celle de l’être humain, mais a été tout aussi belle. Vous avez certainement fait l’expérience de vous relier avec la nature dans les moments où vous étiez fatigué. Une simple promenade en forêt et vous apporte l’énergie, l’apaisement et l’inspiration dont vous avez besoin. Le fait de vous asseoir au pied d’un arbre, d’entendre le chant du vent dans les feuilles, le fait de marcher dans les sous-bois réveille probablement chez vous la sérénité, la confiance.

Peut-être avez-vous repéré que certains arbres vous font plus de bien que d’autres. Certains grands arbres vous sécurisent par leur solidité. Nous n’avons pas les mêmes sensations devant un chêne centenaire que devant un jeune saule. Pour les chamans, nous ne sommes pas coupés les uns des autres. La puissance du chêne nous fait du bien, car elle entre en résonance avec notre propre puissance. Le fait d’appuyer son dos sur un haut sapin vertical et majestueux réveille notre propre verticalité et nous invite à honorer notre propre majesté. Voilà pourquoi il est si bon de communiquer avec les arbres.

Vous pouvez recevoir les informations d’un arbre, d’un rocher, d’un lac. Les chamans passent beaucoup de temps dans la nature pour affiner leur communication extrasensorielle. Adopter une attitude respectueuse avec les arbres, vous recevrez d’eux des informations précieuses. Lorsque vous vous promenez en forêt, vous pouvez autant recevoir des informations que vous pouvez en émettre. Enlacez un arbre. Chuchotez-lui à l’oreille ce qui vous tient à cœur. Écoutez ce qu’il a à vous apprendre. Par l’authenticité de votre démarche, votre relation aux arbres s’affinera. Vous n’aurez pas la même relation avec un chêne ou un saule, car comme les humains, chacun a sa propre personnalité. Et au-delà de la personnalité de chaque arbre, le style de chaque famille est différent. »

Tristan Ferré : Merci Céline, c’était un très beau passage, très inspirant, ça donne envie d’aller faire un tour en forêt et j’imagine bien des grandes forêts de sapin avec un beau lac et j’invite les personnes qui vont suivre vos conseils à y aller à sans téléphone. Ce serait encore mieux parce que l’objectif, ça n’est pas de prendre une belle photo et de la partager, mais c’est de prendre un bon bol d’air et un bon moment.

Logo de Céline Jacquet

Tristan Ferré : On va passer à la troisième partie si vous le voulez bien. On va parler de vos projets entrepreneuriaux, de votre mission professionnelle et on va parler justement de votre reconversion. Comment ça s’est passé votre reconversion ? Comment vous avez vécu cette phase de transition, puisque je rappelle avant vous ne travailliez pas comme naturopathe. Comment est-ce que vous avez opéré cette remise en question ?

Céline Jacquet : Oui, c’est vrai que cette remise en question est arrivée à un moment de ma vie où je me suis rendu compte que le secteur dans lequel je travaillais, l’industrie, ne me correspondait plus du tout et que j’y étais finalement par la force des choses. C’était concomitant avec quelques soucis de santé, je ne pouvais plus travailler dans ces conditions et à un moment donné, ça a été vraiment une nécessité et une véritable évidence, surtout lorsque j’ai entendu parler de la naturopathie animale. Je me suis renseignée sur les différentes formations, ça a été une évidence pour moi. Ça a été à partir de ce moment-là « facile ». J’ai pu me projeter et j’ai pu imaginer mon activité très rapidement. J’étais aussi ultra motivée et très impatiente de démarrer.

Tristan Ferré : Qu’est-ce qui vous a aidé à avancer justement ? Quel entourage ou quel accompagnement est-ce que vous avez trouvé ?

Céline Jacquet : Ça a été bien évidemment mes proches qui m’ont énormément soutenue et qui étaient très enthousiastes, dès que je leur ai parlé de ce projet-là qui était pourtant assez atypique. En termes d’accompagnement, c’est la CCI et Cap Emploi qui m’ont énormément aidé. J’ai pu rencontrer des gens formidables et je pense que sans eux, mon projet n’aurait pas pu voir le jour, donc j’en profite pour leur dire un grand merci.

Tristan Ferré : Super. Je n’insisterai jamais assez sur le fait que c’est très important de se former et de se faire accompagner, c’est hyper important effectivement. Aujourd’hui est-ce que votre activité vous permet de vivre à temps plein ? Est-ce que vous pouvez nous parler de votre modèle économique ?

Céline Jacquet : Alors pour l’instant ça ne me permet pas encore de vivre à temps plein de cette activité. Je rappelle que j’ai démarré finalement il y a trois mois donc c’est vrai que c’est assez peu. Mais c’est l’objectif. C’est vrai qu’avec la crise sanitaire, j’ai des créneaux de communication qui sont un peu bloqués, mais je prévois de faire des salons, etc. pour communiquer là-dessus. Concernant le modèle économique, ce sont des rendez-vous et je prévois un rythme d’une vingtaine de rendez-vous par mois pour que ce soit viable et un ou deux ateliers-conférence. Là en attendant, je prévois de les mettre en place à distance, mais sinon ça serait d’organiser ça de façon assez conviviale.

Tristan Ferré : Et je suivrais ça, si vous le voulez, de très près. Aux Entrepreneurs Animaliers on aime ce genre d’initiatives donc avec grand plaisir. C’est quoi vos plus grands défis aujourd’hui et puis votre difficulté pour démarrer ?

Céline Jacquet a sa page Facebook sur la naturopathie ! Vous pouvez la suivre en cliquant ici !

Céline Jacquet : Le plus gros défi c’est de se lancer finalement, c’est d’oser, voilà ça c’est fait. Je m’étais fixé un objectif de démarrer l’activité juste à la fin de la formation, ça a été un challenge puisqu’il y avait le mémoire à terminer et je mettais en place toute ma communication et tous les documents nécessaires pour les rendez-vous. C’est vraiment de persévérer. Persévérer parce que la profession est très peu connue pour l’instant, donc il faut énormément communiquer. Les gens ne savent pas forcément qu’on existe, donc vont pas avoir le réflexe de faire appel à nous. Il faut vraiment persévérer.

Tristan Ferré : Du coup j’imagine que vous avez quand même quelques premiers succès ?

Céline Jacquet : Oui bien sûr ! Déjà le succès c’était de terminer cette formation qui a été assez intense avec un rythme très soutenu et de créer déjà un réseau pour échanger, je leur fais d’ailleurs un petit « coucou ». C’est aussi le développement de mon site internet, où on peut prendre rendez-vous directement en ligne et acheter aussi en ligne mes produits naturels. C’est d’avoir décroché les premiers rendez-vous qui était au-delà de mes espérances et des hypothèses qu’on avait fixées avec la CCI, donc ça c’est assez prometteur. Et puis bien sûr, ce sont les retours et les avis clients qui sont déjà très satisfaits. Par exemple à la fin du bilan naturopathique, ils sont déjà très contents des conseils que je peux leur donner. Les petits messages que j’ai quelques temps après qui me disent que leur animal va déjà mieux, c’est le plus grand succès.

Tristan Ferré : Effectivement c’est probablement l’objectif ultime que vous avez dû vous fixer dans votre métier. Alors Céline, une dernière question, une double question : quelle qualité faut-il absolument avoir pour pouvoir faire votre métier et quel défaut ne faut-il surtout pas avoir pour faire votre métier ?

Céline Jacquet : Une seule qualité ça va difficile à dire. Je pense qu’il faut vraiment beaucoup de polyvalence et avoir l’âme d’autoentrepreneur déjà pour se lancer, aimer les défis et aimer travailler pour soi. Ensuite, pour le métier de naturopathe en particulier, il faut vraiment être pédagogue avec les gardiens et faire preuve d’empathie, bien sûr avec les animaux, mais également avec leurs gardiens, et comprendre par exemple certaines de leurs contraintes. Et concernant le défaut, je pense qu’un défaut de confiance de soi, ou si on n’est pas assez déterminé, ça peut être assez problématique encore une fois, il faut vraiment persévérer dans cette profession.

Tristan Ferré : D’accord, ça me va très bien. Je retiens beaucoup de choses de notre échange. Il y a une expression que j’ai aimée parce qu’elle est presque contradictoire dans sa manière de le dire, mais au final je l’aime beaucoup, c’est « développer mon intuition », vous avez dit ça à tout à l’heure. On a l’impression que l’intuition est quelque chose d’inné, mais non pour vous, c’est quelque chose que vous continuez à travailler, et j’aime beaucoup cette notion et puis je retiens la notion de « gardien ». On cherche toujours un mot pour ne pas dire le mot « maître », alors moi j’ai l’habitude de dire que je suis l’humain de compagnie de mes animaux, ce qui est une autre manière de voir les choses, mais j’aime bien cette notion de gardien qui est plutôt assez empathique et assez relationnelle. Est-ce que vous avez un dernier mot à nous dire avant qu’on termine cette émission ?

Céline Jacquet : J’aimerais parler juste de certaines cultures pour qui la santé est vraiment basée sur la prévention, je pense par exemple à la médecine traditionnelle chinoise. Il faut vraiment ne pas attendre que les symptômes apparaissent chez votre animal pour faire le point. Faites le point sur son hygiène de vie en amont, il faut vraiment faire de la prévention pour qu’il soit en meilleure santé et le plus longtemps possible.

Tristan Ferré : Ce sera le mot de la fin, merci Céline Jacquet d’avoir participé au podcast des Escapades Animalières, à très bientôt !

Céline Jacquet : Avec plaisir, merci Tristan !

Vous pouvez écouter cette retranscription écrite du podcast des Escapades Animalières sur ce lien -> -> J’écoute le podcast des Escapades Animalières

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